Ultimement, il y a deux formes de religion : la religion des œuvres et celle de la foi en la grâce de Dieu. Celle-ci est humble, dépendante de Dieu, profondément sensible à sa majesté, sa gloire, sa grandeur, sa sainteté et… sa grâce. Est calviniste celui qui prie « Seigneur, viens à mon secours car, seul, je ne suis rien ! » Est calviniste celui qui aspire à ce que le Dieu de Jésus-Christ, sa sainte majesté et sa grâce incompréhensible, aient la priorité dans ses pensées et ses actions. Est calviniste celui qui, reconnaissant sa faiblesse, compte sur la puissance de Dieu, sur l’aide de son Esprit dans tous les compartiments de sa vie.
Paul Wells revue réformée "extrait d'un article"